Conceptrice rédactrice protéiforme

Ecritures publicitaire, journalistique, scénaristique
web, print, vidéo

 

Ils s’affichent, se rythment, racontent, font parler l’image…
Les mots se sculptent et se cisèlent.
Ils savent être filous, ils masquent, ils révèlent, ils suggèrent, ils se déguisent mais ne trichent jamais. Et parfois, savent se taire.
Parce qu’ils sont avant tout l’expression d’un concept.

Coup de plume

  • Blog

    Introduction blog sur la défiscalisation

    Le fil rouge : Annie Pépète Niflouze.

    Annie aime le flouze, mais déteste qu’on la blouse.

    Elle avait tout pour elle. Un matelas financier une place, un peu juste, mais bon !
    Un job stable. Un portefeuille de la taille d’un porte-monnaie, mais bien équilibré.
    Et toute la gamme des produits financiers bien ficelés qui vous font l’impôt léger.

    Avec son flair, elle boursicotait plutôt bien.
    Pourquoi pas un peu d’immobilier.
    Elle potasse la fiscalité.
    Tout roule pendant quelques années.
    Et puis, le grain de sable. La machine s’enraye. Ni crack ni crash.
    Juste la trop classique « petite ligne » signée trop vite à un de ces conseillers experts en bancassurance, fiscalité et tout le toutim. Vendeurs de carabistouilles, parfum d'embrouilles et de carambouilles.

    Mais Annie a du répondant. Triple salto avec réception sur les deux pieds.
    Aujourd’hui les coups tordus et les bras cassés, elle les renifle à plein nez.

    Avec son expérience tout terrain, c’est elle qui vous guide dans ce blog.
    Qui l’aime, la suive …

  • Print

    Salon du design Grand Palais 2017.

    Meuble bas. Pile&Face

    Ce bahut bas ne piétine pas les années 60 et brouille les pistes avec un rien d'irrévérence.
    Coté face, c'est un sage meuble de mercerie. De ses multiples tiroirs aucun fil ne s'échappe, pas même celui d'Ariane.
    Côté pile, il joue les transparences que le métal polit et les jeux de lumière renvoient à l'infini.
    Pile ou face ? Quel espace va-t-il sculpter ? A vous de jouer !

  • Webzine

    FOOD

    "Au Passage"
    Un arrêt obligatoire.

    "J'assure en chair" claironne une icône nue aux formes rondes, tatouée sur la façade du bar/tapas/resto "Au Passage". Ses contours , serrés dans un tracé noir comme dans un corset exultent et donnent le ton. Il s'agit de faire bonne chère, de l'apéro jusque tard dans la nuit.

    Caché passage Saint Sébastien qui relie la rue Amelot au boulevard Richard Lenoir, cet ancien café d'artisans garde jalousement son style industriel bois et métal. Si le cadre détend, les plats mettent les papilles en alerte. Epaule d'agneau confite, assiette de radis émincés et coques fraiches, que choisir ? Impossible de prévoir, la carte se concocte tous les jours en fonction du marché. Celle des vins présente les petits producteurs, coups de cœur de la maison. Au passage, il vaut mieux réserver. Petites assiettes de 7€ à 18€ jusqu'à 23h30. Passé minuit, laissez-vous happer par l'ambiance arty et cosmopolite du lieu.

    Au passage.
    1 bis, passage Saint-Sébastien.
    75011 Paris

    EXPO

    Plonger pour David Hockney…

    Piscines et baies californiennes, paysages anglais, double portraits résolument figés, la rétrospective David Hockney à Beaubourg, n'a pas une ride…

    Au Centre Pompidou, les plus de 140 œuvres de David Hockney qui fête ses 80 ans, vibrent de couleurs joyeusement saturées et parlent aux sens.
    Apparemment faciles d'accès, acryliques, collages, dessins, montages photos et installations vidéo jouent des références d'Edgard Hopper à Henry Matisse. Au-delà de cette apparente simplicité, la "perspective inversée" concept inventé par Hockney entre en scène. Appliquée avec un flegme tout britannique, elle rappelle que seule l'ouverture d'esprit peut rectifier notre vision flouée par la réalité. Un bain de jouvence et d'hédonisme pour des regards blasés et des perceptions émoussées. Ecarquillez les yeux, libérerez-vous des poncifs !

    BEAUTE

    Epilation
    Pourquoi froncer les sourcils ?

    Décidemment, ce matin votre miroir vous renvoie une triste mine. Arrêtez les selfies ! Avez-vous pensé à la courbe de vos sourcils ? Et oui, mal dessinée, elle éteint votre regard et plombe vos expressions. Mais le remède est là, une solution au fil de la perfection et sans rendez-vous !

    L'épilation des sourcils au fil, cette technique indienne se répand de plus en plus à Paris. Rien d'étonnant à cela. En quelques secondes, sans douleur et sans trace disgracieuse, la ligne de vos sourcils prend la forme qui vous va. Inutile d'adopter le style bollywood ! Ce serait compter sans l'étourdissante dextérité des spécialistes des salons "Beauty Queen". Pour 7 €, un anti dépresseur rapide, naturel et durable. Et ça ne fait pas mal. C'est vrai ou presque !

Télé, radio, vidéo

VIDEO. "Le Marquis" sitcom

  • Bible

    LE MARQUIS*
    * série inspirée par le "Vicomte", personnage réel

    Le Marquis est le chef du service "antiquaire" de la B.R.B. Il est chargé de pister les voleurs et les faussaires d'œuvres d'art dans la capitale et à l'international. C'est un flic à part, dans une brigade qui n'a rien d'un stéréotype, dans des locaux qui n'ont pas grand-chose d'un commissariat. Le milieu qu'il est amené à fréquenter va des brocanteurs aux plus riches collectionneurs en passant par une faune interlope de receleurs, faussaires et amateurs plus ou moins éclairés. Sur un mode ludique et un ton badin, loin du meurtre systématique, même si elle ne l'exclut pas, cette série se propose, bagage culturel à l'appui, de montrer l'envers du décor du marché de l'art.

    LE MARQUIS, héros, "ma non tropo" de la série.

    Personnalité. Avec un grand-père aristocrate (désargenté au point de vendre son titre) ce qui lui a valu son surnom de marquis, son langage est naturellement châtié, imparfait du subjonctif de rigueur. Mais ses coups de gueule ne manquent pas pour autant de truculence.

    Portrait. Approchant la cinquantaine avec flegme, il a beaucoup de charme, accru par le fait qu'il n'a pas l'air de s'en rendre compte. Figure ronde et enjouée, caché derrière des lunettes de myope et d'hypermétrope. Il a l'œil vif et malicieux quand il porte des lentilles, le sait et en joue, quand ça l'arrange.

    Sa bête noire. Les fonctionnaires recrutés sur concours et fraîchement sortis des universités. (D'autant que c'est un modèle de ce genre qui lui a soufflé sa ravissante fiancée, marxiste, léniniste et féministe dans les années 70)

    Ses facultés. Il est doté d'une mémoire extraordinaire et constitue des fiches manuscrites à partir des catalogues d'œuvres d'art et de visites matinales aux puces. Formé sur le tas, autodidacte, il connaît tous les procédés de contrefaçon anciens ou actuels. Certains experts internationaux qui ne lui arrivent pas à la cheville, le redoutent. A l'heure du numérique, il a consenti à participer à la création de l'ordinateur Mémo Plus, son double et rival à qui il a donné son savoir, mais pas tout.

    Ses marottes.
    Rivaliser avec l'ordinateur, à l'élaboration duquel il a activement participé en lui léguant sa prodigieuse mémoire quelques années auparavant. S'ensuivent, parce que le Marquis est très mauvais joueur, des joutes interminables et venimeuses en diable. Parce que Mémo Plus parle, répond avec une langue bien pendue.
    L'insulte préférée du Marquis : " Sale tête de bits électroniques".
    - Memo Plus, erreur 404 : " Je ne te fais le baise main"
    - Memo Plus, écart de langage : "Tes quartiers de noblesse vont de la Goutte d'Or au métro Poissonnière"

    LE Q.G, dit LE LABO ou LA CUISINE.
    C'est la salle oùsiège Mémo Plus. Et comme le Marquis et ses adjoints sont de fins gastronomes, il y a une cuisine high-tech attenante où se fomentent tous les plans d'action. Autour d'un bon petit plat, parfois contesté - chacun a une recette bien à soi et se montre parfois un rien sectaire- se préparent, à l'abri des oreilles indiscrètes, les stratégies qui frisent la légalité.

    SES ADJOINTS

    "DU RESTE". Pur produit des concours, soumis à la hiérarchie et au règlement, ce brillant sous-fifre un rien tatillon et le Marquis n'ont que très peu d'atomes crochus ... Pas toujours d'accord sur les méthodes à employer, ils se complètent pourtant à merveille. Il a un tic de langage horripilant en commentant souvent et plus que de raison, ses phrases par "du reste", d'où son surnom.

    "L'INTELLO". Pas très catholique plutôt black et musulman, ce jeune assistant ment comme un arracheur de dents, sauf à son chef à qui on ne la fait pas. Il n'a pas son pareil pour arracher la vérité aux plus grands mystificateurs. Roublard, dragueur son passe-temps favori est de mettre DU RESTE en boîte et de rendre Paper-Girl jalouse, elle qui se prétend au-dessus de ça. Son langage est très imaginé, un rien branché. "Ca le gave quand une meuf n'imprime pas assez vite" ou que DU RESTE" ne percute pas".

    "PAPER GIRL". Carrossée comme une Mercedes, elle sait bien négocier les virages dangereux sur les terrains boueux de l'administration et de la hiérarchie oùson supérieur aurait tendance à s'embourber. Trilingue, diplômée en histoire de l'Art, elle ne connaît de barrage ni linguistique ni culturel. Véritable caméléon, elle est à l'aise dans tous les milieux et aime tâter du déguisement.

  • Synopsis

    SYNOPSIS EPISODE 1

    FAUX IS BEAUTIFUL
    Une toile du maître hollandais Van Eyck est mise aux enchères à Drouot. Elle avait été restituée à ses propriétaires anglais par la Commission alliée sur l'Art en 1946 : c'est un article que Paper Girl lit dans la presse. L'authenticité du tableau avait été mise en doute à l'époque mais sans plus. Le Marquis s'en souvient refait l'enquête d'après-guerre et va plus loin. Conclusion, il s'agit bien d'un faux d'un peintre de talent anonyme et âgé de 80 aujourd'hui. Scoop dans la presse, la cote du faussaire s'envoIe. Il a trompé Goering et les meilleurs experts, c'est un acte de résistance ! Les galeries s'arrachent son œuvre personnelle. S'ils manient l'humour anglo-saxon, seuls les propriétaires se sentent un rien abusés !


Orchestrer une campagne, synthétiser une idée ou la laisser s’exprimer au long cours, à vous de me donner la tonalité, à moi d’écrire la partition.

yingyangg

Tarifs équitables
et délais raisonnables de mise.

 

 

 

  • Pincipaux budgets

 

left_bottom
Agathe Riegel
06 26 14 81 03
agatheriegel75@gmail.com
67 000 Strasbourg
75 003 Paris